| Le gouvernement espagnol n’a pas bien mesuré l’ampleur des conséquences de sa décision d’accueillir le chef des séparatistes du Polisario, le dénommé Brahim Ghali, poursuivi en Espagne pour des crimes de génocide, meurtre, torture et disparitions forcées, souligne le magazine espagnol “Atalayar”.
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| Le gouvernement de Madrid a "contourné" la loi et la justice pour accueillir, sur le territoire espagnol, le chef des séparatistes, le dénommé Brahim Ghali, écrit mardi le site d'information hispanophone "infomarruecos".
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| L’énigmatique hospitalisation du dénommé Brahim Ghali, chef des milices des séparatistes en Espagne sous un faux nom algérien, renseigne sur le degré d’intimité entre l’appareil sécuritaire algérien et la direction du "Polisario", décrypte le politologue Mustapha Tossa.
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| Les séparatistes du Polisario traversent des "moments délicats" et ne jouissent pratiquement "d’aucun soutien sur le plan international", souligne le magazine espagnol spécialisé dans les affaires du Maghreb, "Atalayar".
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| L'Italie et l’Union européenne (UE) sont appelées à suivre la dynamique en cours au Sahara marocain, écrit le portail d’information italien «Meridianoitalia».
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