Les populations sahraouies préoccupées par le développement plus que par les considérations politiques et il n’y a pas de règlement à part répondre à cette exigence dans le cadre de la souveraineté du Maroc

Des experts et acteurs associatifs ont passé en revue, mercredi à Genève, les défis et les opportunités de mise en œuvre du droit au développement en Afrique du Nord, mettant en avant l’expérience singulière du Maroc qui a adopté une approche de développement adossée aux droits de l’Homme.

Des acteurs associatifs sahraouis ont dénoncé, lors de la 58e session du Conseil des Droits de l'Homme à Genève, les violations des droits de l’Homme et la répression des voix dissidentes par le Polisario dans les camps de Tindouf (sud-ouest de l'Algérie), ainsi que la situation de désespoir qui y prévaut notamment parmi les jeunes.

Le Congrès péruvien a exhorté, lundi, le ministère des Affaires étrangères du Pérou à exprimer « son soutien à l'Initiative marocaine d’autonomie pour le Sahara et à reconnaitre la viabilité et la crédibilité de cette proposition comme la seule base solide pour la résolution définitive de ce différend ».

La participation de représentants des élus locaux des régions de Dakhla-Oued Eddahab et Laâyoune-Sakia El Hamra parmi la délégation marocaine à la 57eme session de la Commission Économique des Nations Unies pour l'Afrique (CEA), qui se tient à Addis-Abeba du 12 au 18 mars, constitue un indice fort de l'intérêt porté aux régions du Sud du Royaume dans le processus d’intégration régionale et continentale, ainsi que de la volonté affirmée de diversifier et de développer leur économie, a souligné Dr Mrabih Rabou Shaibata, Président du Centre Sahara pour les Études en Développement et les Droits de l’Homme.

Le secrétaire général du Conseil de Coopération du Golfe (CCG), Jassim Al-Budaiwi, a réitéré les décisions et les positions constantes du Conseil en faveur de la marocanité du Sahara, de la stabilité du Royaume et de son intégrité territoriale.