| L’ATSME (Association des Tribus Sahraouies Marocaines en Europe), a dénoncé par les mots les plus durs, en appelant la communauté internationale à chercher une solution politique au différend sur le Sahara et de se dresser contre l'instrumentalisation des droits de l'homme à des fins politiciennes étroites pour parasiter le processus politique enclencher dans la région.
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| "Le Maroc rejette catégoriquement toute proposition tendant à l'élargissement du mandat de la MINURSO ou à la mise en place d'un mécanisme international alternatif de surveillance des droits de l'Homme dans ses provinces du Sud", a déclaré, mardi 16 avril 2013, le Ministre des Affaires Etrangères et de la Coopération, Dr Saad Dine El Otmani.
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| Des experts internationaux spécialisés dans les questions stratégiques et de défense ont estimé que l’indépendance du Sahara «n’est pas une option réaliste et encore moins pratique», en faisant état de faits «probants qui attestent de l’implication d’éléments du Polisario aussi bien dans les rangs des groupes terroristes qui sévissent dans la région, que dans les opérations de kidnappings et les trafics de tout genre».
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| Le problème du Sahara n'est pas un conflit entre le Maroc et le "front Polisario", mais plutôt entre le Royaume et l'Algérie, a affirmé le ministre panaméen des Affaires étrangères, Fernando Nunez Fabrega.
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| L’initiative d’autonomie, dont la prééminence a été reconnue dans les sept dernières résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU, constitue une "solution réaliste" pour régler le différend autour du Sahara où il n’y a "ni vainqueur ni vaincu", a souligné le ministre délégué aux Affaires étrangères et à la Coopération M. Youssef Amrani.
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