| Les voix élevées au Congrès de Gjijimat, tenu en parallèle avec le congrès du "Polisario" par des Chioukhs et chefs de tribus sahraouis, sont celles de ceux qui "souffrent le plus dans les camps de Tindouf", écrit le journal "Al Hayat".
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| M. Khalihenna : Il n’y a pas de prisonnier politiques du Polisario au Maroc, il n’y a que des prisonnier de droit commun L’homme a choisit ses concepts avec précision et il a expliqué que la solution du problème revient à l’Algérie sœur qui pousser le front Polisario sur la voie de la solution escomptée et en finir avec ce dossier. Il a renouvelé son invitation au Chef du front Polisario pour revenir au Maroc et faire sa repentance. Il a reconnu les fautes du passé, conséquences de l’approche sécuritaire du passé..Il a nié l’existence de liens entre le Maroc et la tendance « Khat Achahid », dissidente du Polisario, expliquant qu’il est nécessaire de distinguer entre le Polisario en tant que direction et en tant que front.
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| Le journal malien "Le Républicain" a vivement, dénoncé la décision du "Polisario" de tenir son prochain congrès à Tifariti, soulignant que les séparatistes restent ainsi fidèles à leur "défiance systématique" de la légalité internationale.
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| Le président du Sénat chilien, M. Eduardo Frei Ruiz-Tagle, a affirmé que l'Initiative marocaine d'autonomie dans les provinces du sud "est très objective pour la résolution de la question du Sahara".
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| La question du Sahara a toujours été abordée en termes de droit international, alors que d'autres dimensions importantes comme les liens sociaux existant entre les populations du Sahara et le reste de la société marocaine n'ont pas fait l'objet de l'attention qu'elles méritent, estime le professeur Mohamed Cherkaoui, pour qui ériger des frontières entre le Sahara et le reste du Maroc est "sociologiquement absurde".
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